Moi aussi, comme Benalla, je veux une arme "pour défense personnelle" !
Alexandre Benalla prétend avoir un droit de port d'arme pour sa sécurité personnelle. Ce droit ne devrait-il pas s'appliquer à tout le monde ?
Alexandre Benalla prétend avoir un droit de port d'arme pour sa sécurité personnelle. Ce droit ne devrait-il pas s'appliquer à tout le monde ?
L’affaire Benalla n’est pas une nouveauté, qui rebondit actuellement avec son audition par le sénat. Elle n’est qu’un avatar de la constitution gaullienne, qui tolère une zone grise autour de l’exécutif afin d’assurer son efficacité, du moins sur le papier.
Pourquoi il faut protéger l'état de droit dans l'affaire Benalla. Une tribune en réponse à l'artice d'Edouard Treteau paru dans le Figarovox.
Le sénat sera-t-il le dernier contre-pouvoir susceptible d’enrayer l’esprit de factions qui paralyse la république ?
L’ouverture à la société civile est l’antithèse de l’entre-soi.
Si les sans-culotte sont nombreux aujourd’hui à monter sur les barricades pour réclamer la tête de Macron, peu nombreux sont ceux, à voir que c’est notre État envahissant et omnipotent lui-même qu’il faut raccourcir.
Et si l'affaire Benalla avait éclaté au moment de la présidentielle de 2022, dans une France qui pénalise les Fake News ? Petit essai de science fiction pour préserver les libertés publiques d'aujourd'hui.
L'affaire Benalla est la première grande crise politique française qui est vécue en temps réel par des millions de citoyens sur les réseaux sociaux.
Aussi difficile que cela puisse paraître, Emmanuel Macron aurait absolument dû révéler toute la vérité dès le début de cette crise politique.
Castaner, Bergé, Roger-Petit : la communication de crise de l’Élysée s'enrhume.