La montagne de cash
L'injection monétaire d'une banque centrale ne passe pas nécessairement par le panier de la ménagère et ne se traduit pas nécessairement par de l'inflation.
L'injection monétaire d'une banque centrale ne passe pas nécessairement par le panier de la ménagère et ne se traduit pas nécessairement par de l'inflation.
La Fed n'est pas une institution monétaire américaine indépendante. Peu importe, sauf exception, la personnalité de son président. Les pressions guident sa politique monétaire.
Nous sommes tombés dans une frénésie d'achat d'obligations qui est censée aider principalement Main Street (le peuple). Au lieu de cela, c'est un régal pour Wall Street (la bourse).
L'endettement croissant de nos États et banques centrales n'est qu'un camouflage qui couvre un processus irrémédiable d'appauvrissement.
N'est-il pas temps d’empêcher les Banques Centrales de soutenir notre économie par la seule création monétaire ?
Tandis que Ben Bernanke préfère ne pas discuter de la « relique barbare », il semblerait que Mario Draghi, président de la BCE, ait une opinion différente sur l’or.
Est-il raisonnable d’anticiper un véritable durcissement de la politique monétaire américaine ?
Les politiques d'« argent facile » menées par les banques centrales ont de multiples effets négatifs et nuisent à l'économie.
Pourquoi il est nécessaire de limiter l’inflation et le pouvoir de l’État sur la monnaie.
Si l’imagination est au pouvoir chez les Banques Centrales, elle consiste avant tout à revenir aux erreurs du passé.
Les banques centrales jouent un jeu dangereux : loin de garantir la stabilité monétaire, elles prennent délibérément le chemin de l’inflation.
Tandis que l'économie réelle manque de financements, les bulles financières nourries par les banques centrales grossissent.
Si l’État, depuis ses débuts, met tant de ferveur à lutter contre la fausse monnaie, c’est pour mieux s’arroger le monopole d’en produire lui-même incognito.
Par leur politique de taux bas, les banques centrales sont directement responsables de l’appauvrissement général de la société.
Dans son dernier ouvrage, Jean-Philippe Bidault raconte l’histoire de l’argent depuis l’antiquité.
Le premier audit de la Fed avait rendu de décoiffantes conclusions en juillet 2011 : un hold-up de 16 000 milliards !
Les réserves d’or de l'Allemagne sont officiellement estimées à 3400 tonnes d’or. Mais problème : elles ne sont pas conservé dans le pays, mais seraient hébergées dans des pays tiers.
À l’évidence, les liquidités coulent à flot, de plusieurs manières, en direction des banques commerciales. Si elles ne peuvent plus se refinancer auprès de la BCE, elles s’adressent à leur banque centrale nationale qui crée en quelques clics de souris – grâce à l’ELA – les quantités d’euros dont elles ont besoin.
Dans le présent billet nous présentons une esquisse de loi illustrant la manière dont pourrait être établie et fonctionner une caisse d’émission moderne, indépendante et basée sur l’or.
Ce sont les banques à réserves intégrales parrainées par l’État, plutôt que leurs homologues sur le marché privé des banques à réserves fractionnaires, qui sont les ancêtres des futures banques centrales, à commencer par la Banque d'Angleterre.