L’URSSAF, cet "ami" que l’on fuit
Le président de la République considère que l’URSSAF est l’« ami » des chefs d’entreprise, et toute opinion contraire résulte selon lui d’un problème de « perception ». Deuxième partie.
Le président de la République considère que l’URSSAF est l’« ami » des chefs d’entreprise, et toute opinion contraire résulte selon lui d’un problème de « perception ». Deuxième partie.
Un amendement au PLFSS 2019 revient à l’exonération de cotisations sociales pour les vendanges, remise en cause dans la version initiale du texte.
« Le fisc est votre ami » pourrait aussi clamer Macron.
Une expérience édifiante : quand un petit entrepreneur goûte aux erreurs de l'URSSAF.
Rien n'est plus scandaleux que de prétendre assimiler les cotisations sociales à un salaire différé. Explication.
L’interventionnisme économique a progressé de façon rampante, et le résultat est une situation de quasi-assistanat des citoyens.
Les programmes d'État ne seront jamais des cadeaux : ils sont tous soumis à conditions. Et ce sont ces conditions qui nous lient et nous emprisonnent.
La Sécurité sociale française peut-elle continuer à se financer sur le travail ? Ou va-t-elle basculer vers l’impôt ?
Illustration des effets cumulés d’une instabilité de l’environnement législatif et de la complexité des dispositifs anti-optimisation à propos des cotisations sociales sur dividendes.
Conserver sa protection sociale anglaise tout en travaillant en France : c'est une des pistes qui serait explorée par les banques françaises pour rapatrier leurs salariés en France sans qu'ils y laissent des plumes.
Il est temps de démystifier les croyances à propos du salaire et des "droits sociaux" des salariés : chaque avancée sociale se paye, de manière invisible et indolore, par une baisse de salaire.
Comment peut-on garantir aux Français une protection dans le libre-échange, avec les disparités économiques et sociales des pays de l'Union européenne ?
Le rapport annuel du Conseil d’Orientation des Retraites montre que les prochaines années seront difficiles : les retraites seront déficitaires de 10 milliards d'euros dès 2020.
Il est totalement illusoire de penser qu’au 1er janvier 2018, le RSI c’est fini.
C’est une bonne chose de supprimer le CICE qui est une cause de lourdeur coûteuse, mais en même temps, sa réforme apportera encore un peu plus d’opacité dans la gestion des cotisations sociales et le financement des organismes d’assurance.
La Sécurité sociale doit-elle absorber les complémentaires santé, ainsi que le voudrait par exemple le candidat Mélenchon ?
Le plan de financement de la Sécurité sociale 2017 multiplie les petites escarmouches réglementaires qui vont rendre intenable la vie du chef d’entreprise.
La répartition des cotisations pour la Sécurité sociale est injuste. Mais pour réformer, il faudrait affronter les syndicats... qui sont administrateurs de la Sécurité sociale.
Roger réside et exerce son activité libérale en France, mais n'est pas affilié au RSI et ne paye ni allocations familiales, ni CSG, ni cotisations retraite. En toute légalité.
L'Assemblée Nationale vient d'adopter l’amendement Ayrault, qui vise à introduire une dose de progressivité dans la contribution sociale généralisée.