Les dettes publiques à la dérive
La folie des dettes publiques ou comment les Etats et Banques centrales nous ont préparé les conditions d’une nouvelle crise mondiale d’ampleur et s’en inquiètent.
La folie des dettes publiques ou comment les Etats et Banques centrales nous ont préparé les conditions d’une nouvelle crise mondiale d’ampleur et s’en inquiètent.
Il est temps que les pays qui dépendent de "l’argent des autres" apprennent à s’en passer.
"Aujourd’hui, le FMI est l’acronyme de Fin de la Mondialisation Irresponsable" déclare avec ironie le chief economist d’une banque d'affaires de la place de Bruxelles.
Les indicateurs de la gestion des finances publiques sont toujours plus médiocres.
Si aujourd’hui les Français réagissent avec retard à la pression fiscale, ils seront amenés dans quelques mois à se révolter contre la dette publique.
L’impression monétaire des banques centrales, combinée à l'endettement public, a créé un monde de richesse et de prospérité illusoire.
Épinglés pour leur gestion désastreuse des collectivités publiques, les élus rejettent la faute sur les banques et leurs "emprunts toxiques".
Le regard de René Le Honzec.
Récusant à la fois les irresponsables de la « relance » et ceux de « l’austérité », nous proposons une troisième voie : mettre en œuvre une restructuration préventive et ordonnée de la dette française pour éviter la faillite.
Tandis que l'économie réelle manque de financements, les bulles financières nourries par les banques centrales grossissent.
TGV : 2 milliards de voyageurs et 30 milliards de dettes, du moins au RFF qui gère le réseau et hypocritement la dette héritée de l'ancienne SCNF...
Pour assurer sa pérennité, le système français a besoin de trouver un équilibre financier, ce qui nécessitera des réformes courageuses
Par leur politique de taux bas, les banques centrales sont directement responsables de l’appauvrissement général de la société.
Selon un récent rapport du Boston Consulting Group, de véritables chaînes de Ponzi plombent les économies développées. Dix pistes pour s'en sortir.
En 2050, le déficit annuel du système de retraite se trouvera entre 70 et 120 milliards. Jeunes étudiants, ne comptez pas trop dessus…
Dans Libération, le député PS Jean-Christophe Cambadélis a prôné "un autre chemin pour une autre politique en Europe". Est-ce bien raisonnable ?
L'utilité d'une politique économique ne peut être critiquée qu'en connaissance des théories qui la justifient. En la matière, les keynésiens, défenseurs des déficits publics s'opposent aux libéraux, partisans de la rigueur.
Que ce soit au sein des marchés financiers ou des États-membres de la zone euro, nombreux sont ceux qui espèrent une intervention directe et rapide du FESF, qui achèterait de la dette espagnole et italienne afin de détendre les taux d’emprunt.
François Hollande dans la discipline du plongeon de dette en apnée.
Nous ne sommes plus en démocratie mais en « Debtocracy ». États, régions, entreprises, ménages, c’est une énorme bulle de dettes que nous avons en face de nous, et l’explosion de cette bulle est inéluctable et sera dévastatrice. Comment, dans ce contexte, protéger son patrimoine ?