Quand le Père Noël se fait piéger par la réglementation française
Le Père Noël a du mal à faire son travail à cause des réglementations françaises.
Le Père Noël a du mal à faire son travail à cause des réglementations françaises.
Pas de doute, c’est la rentrée. Pas de doute, l’élection présidentielle approche. Pas de doute, l’intelligentsia, le Tout-Paris, nos médias subventionnés et la fine fleur…
Il y a un an, la Loi Macron autorisait l'ouverture de certains commerces le dimanche. Pourquoi est-ce une bonne idée ? Le point sur les mythes et la réalité du travail dominical.
Les Français ne sont-ils pas suffisamment responsables pour choisir librement s’ils veulent travailler ou non le dimanche ?
La situation du chômage exige des mesures à effets rapides et massifs. Trois exemples.
Parfaitement dans son rôle, le Conseil d’État a récemment rappelé par deux fois à nos gouvernants que le rôle de l’État est de garantir la concurrence et la liberté d’entreprendre.
Alors que le décret autorisant l’ouverture des magasins de bricolage le dimanche est publié, les syndicats sont décidés à en bloquer l’exécution.
La réglementation actuelle est la cause d’opportunités manquées de créer de la valeur.
Les nouveaux modes de vie et de distribution imposent de sortir des dérogations incohérentes pour établir une vraie liberté de travail.
L'interdiction du travail du dimanche est une aberration économique et sociale, en particulier pour les petits salariés qui en dépendent pour vivre.
En quoi le repos hebdomadaire commun est-il un bien ? Pourquoi faudrait-il légalement créer un espace commun de repos à tous ?
Ce ne sont ni les salariés, ni les syndicats qui sont légitimes à définir les horaires d'ouverture.
Le tribunal de commerce de Bobigny a interdit à une quinzaine de magasins Castorama et Leroy Merlin d'ouvrir le dimanche. Une décision qui reflète l'état du droit en la matière, caractérisé par l'opacité et l'absence de principe directeur.
La CGT, toujours en retard d'une révolution sur le travail du dimanche.