Réforme des institutions : moins de députés pour plus d’évaluation ? Chiche !
Plus qu’une bonne intention, la réforme des institutions est en fait d’une nécessité absolue, indispensable à l’optimisation des politiques publiques.
Plus qu’une bonne intention, la réforme des institutions est en fait d’une nécessité absolue, indispensable à l’optimisation des politiques publiques.
Proportionnelle, réduction du nombre de députés, statut de la Corse et changement climatique : que va changer la réforme des institutions voulue par Emmanuel Macron ?
Les élections législatives révèlent, à la lumière des événements des derniers mois, toute la complexité des enjeux politiques français.
Il serait possible de trouver un compromis entre les tenants du statu quo et les partisans de la proportionnelle intégrale. Ce compromis a d’ailleurs déjà été trouvé pour les élections locales, et particulièrement les élections régionales.
Promise par François Hollande, l’introduction de la proportionnelle aux élections législatives n'est toujours pas actée.
La moitié du mandat présidentiel est à présent passée. L’exercice du bilan de ces deux années et demi de pouvoir ultra-socialiste puis ultra-social-démocrate puis ultra-gesticulatoire…
Le scrutin proportionnel n'est rien de moins qu'une dictature des apparatchiks.
Afin de restaurer notre démocratie, la priorité doit être d’affranchir l’Assemblée nationale de tout ancrage territorial.
En prônant le non-cumul des mandats, le rapport Jospin déclenche des réactions très révélatrices de la mentalité des élus français.
D'autres types d'élections sont possibles, nos voix valent plus que leurs profits, no pasaran et tout ça !
Que pourraient donner les prochaines élections législatives si le mode de scrutin était proportionnel et non majoritaire ?
Dommage que le premier parti de France, l'abstention, n'ait pas le pouvoir de bloquer les conseils généraux